Republike : Manifeste – Reprenons le contrôle des médias sociaux
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REPUBLIKE MANIFESTOReprenons le contrôle des
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Pour sortir du brouillard mental
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« Les personnes les plus puissantes au monde aujourd'hui ne sont pas les politiciens, mais ceux qui écrivent et améliorent l'algorithme des plateformes sociales mondiales » - Naval Ravikant

Ce n'est plus un secret – Internet, tout comme le monde, se trouve à un carrefour. Aujourd'hui, nous avons le choix entre laisser les « Dieux de la Tech », de la Silicon Valley à l'Asie ainsi que les technologies à usage gouvernemental définir notre avenir, et imposer leur vision de la philanthropie... Ou bien reprendre collectivement le contrôle de nos vies, d'Internet, de son contenu, de nos données et proposer par nous-mêmes un Design Démocratique pour vivre et grandir ensemble.

Un pouvoir illimité qui s'est retourné contre nous

En contrôlant la diffusion de l'information et donc notre manière de penser, de créer, de produire, les plateformes sociales mondiales et leurs architectes reprogramment littéralement le cerveau des gens et façonnent nos cultures et le monde.

Les phénomènes que nous observons ces dernières années, comme le climat de plus en plus délétère sur les réseaux sociaux, la montée des extrêmes, le contrôle du contenu dérivant vers la censure, ne sont que la pointe d’un iceberg qui plonge ses racines profondément dans le modèle économique des plateformes sociales mondiales : celui de l'engagement piloté par les algorithmes et la commercialisation des données comme modèle de revenus. Ce qu’on appelle l’économie de l’attention.

En 2015, les GAFAs et les gouvernements détenaient 5 points de données numériques par personne aux États-Unis. Dans moins de 10 ans, chaque personne sur Terre sera « stockée » au travers de plus de 70 000 points de données personnelles.

Outre les dangers évidents de cette évolution, cette sur-identification a généré des "bulles de filtres" et d'autres distorsions de données vicieuses et sournoises qui, contrairement au rêve à l’origine des médias sociaux de rassembler des gens du monde entier, les isolent maintenant dans leurs univers individuels.

Le business model Rage Machine

Ce modèle, qui donne l'illusion d'un service gratuit, est basé sur l'exploitation de nos données, le nouvel or numérique que nous avons tous abandonné aux Big Techs dès que, pour pouvoir utiliser ces services, nous avons accepté les Conditions d'Utilisation. La plupart du temps sans les lire…

Aujourd'hui, après des scandales comme celui de Cambridge Analytica et grâce à des documentaires tels que le Social Dilemma, le grand public est de plus en plus conscient de ces excès et le buzzword « Web3 » se retrouve partout, vendu avec toutes sortes de solutions, ou soi-disant telles, censées transférer le pouvoir des actionnaires et des entreprises aux utilisateurs. Cependant et même si la décentralisation du “Web3” est un pas en avant nécessaire et important, il n'offre en l’état aucune solution réelle car il ne tient pas compte de la racine du problème – le commerce de notre attention.

Pour nous garder connectés, les algorithmes sont conçus pour générer un engagement maximal qui favorise des réactions instinctives, animales et rapides plutôt que des actions réfléchies et/ou calmes. Les concepteurs construisent des systèmes qui exploitent largement cette pensée automatique, ce que certains appellent la « rage machine ».

Le résultat est que, littéralement parlant, il n'existe plus d'espace 100% sûr pour partager des idées de toutes sortes, des humeurs, des opinions, des créations, des joies et des questions de toutes sortes.

Sans ajouter que Facebook et Twitter ont perdu la compréhension et le contrôle de leurs algorithmes…

Le constat cinglant est que les médias sociaux mondiaux contribuent également à polariser le "monde réel", tuant lentement ce qu'il y a de plus humain en nous : les véritables relations avec les autres. Et que le monde matériel est de plus en plus une copie du monde numérique.Et ce n'est probablement que le début...

Surveillance de masse

« Le jour viendra, si ce n'est déjà fait, où les politiciens réaliseront que les plateformes de médias sociaux choisissent le prochain président, les prochains congressistes, ils choisissent littéralement et ont le pouvoir de choisir, donc ils seront contrôlés par le gouvernement. » - Naval Ravikant

Pendant ce temps, l'ère du COVID a apporté de nouveaux défis et a contribué d'une certaine manière à faire prendre conscience aux gouvernements de la possibilité technologique de contrôler leur population. Nous pouvons dire aujourd'hui sans exagération ni procès d’intention qu'un contexte contenant des germes liberticide gagne du terrain.

Cela se traduit par le fait que les gens sont maintenant essentiellement divisés en deux camps : ceux qui acceptent facilement ce qu'on leur dit de faire ou de penser sans creuser davantage et ceux qui remettent en question, essayant de mieux comprendre la situation, et les situations en général.

Cependant, aujourd'hui, nous atteignons un point dangereux où ceux qui remettent simplement en question le discours officiel sont appelés complotistes. Et pourtant, n’est-il plus sain et plus vrai de penser que l’essentiel de la réalité se trouve dans l’éventail infini et mouvant de contextes et d’opinions que l’on trouve entre ces deux termes ?

Cette zone grise intermédiaire de l'investigation, où réside le terrain de jeu de l'intelligence ainsi que le chemin des êtres humains à travers une réalité dynamique et en constante évolution, est menacée par un modèle de « pensée préformée », grandement favorisé par les modèles basés sur l'engagement (sur les réseaux sociaux mais aussi évidemment dans les médias classiques, la télévision et les journaux, poussant des gros titres accrocheurs et des informations non analysées ou « rapidement analysées »).

La technologie a le pouvoir de façonner le monde, d'une manière ou d'une autre...

Plus que jamais, la technologie est au cœur de ces enjeux : soit elle peut nous emprisonner, soit au contraire nous libérer. Tout au long de l'histoire, les gouvernements ont utilisé les technologies pour influencer les foules, que ce soit pour le bien ou pour le mal, des campagnes contre le cancer à la propagande de masse sous les nazis ou les soviétiques, ou de nos jours de manière très discutable en Chine avec le crédit social.

En fait, nous sommes aujourd'hui confrontés à certains des choix collectifs aux conséquences les plus importantes de l'histoire humaine :

Voulons-nous laisser la technologie entre les mains de quelques puissants façonner le monde pour nous et décider de la manière dont nous devrions agir ou penser, ou sommes-nous assez courageux pour utiliser cette technologie pour libérer nos esprits et façonner le monde que nous voulons ?

Acceptons-nous que les plateformes mondiales utilisent nos données sous couvert d'un « accès gratuit » et nous vendent comme des produits, ou sommes-nous capables de prendre notre destin financier en main ?

Voulons-nous des monnaies numériques des banques centrales pour nous suivre ou voulons-nous rester libres et dépenser notre argent comme nous le souhaitons et de « pair à pair » ?

Voulons-nous « nous engager » lorsque nous le choisissons consciemment ou parce que les algos nous y obligent ?

Voulons-nous rester capables de penser librement ou voulons-nous obéir sans même nous poser de questions ?

Aujourd'hui, nous devons choisir notre camp et ne pas choisir, c'est les laisser faire le choix pour nous.

Une Nation Digitale

Republike est une tentative communautaire globale de reprendre collectivement le contrôle de notre destin. Elle propose un renversement à 180° du modèle GAFA, de la propriété à la récompense financière, en redonnant aux utilisateurs ce qui n'aurait jamais dû quitter leurs mains – le contrôle des données et de l'affichage.

En mettant le contrôle des algorithmes et la gouvernance de la plateforme entre les mains des utilisateurs, notre ambition est de créer une opportunité collective de reprendre le contrôle de nos vies numériques et d'ouvrir la possibilité de penser en dehors de la matrice.Domptons ce pouvoir ensemble et reprenons le contrôle

La prochaine ère des médias sociaux

Republike doit être libre de l'opacité des algos, garantir que les données des utilisateurs sont sûres, libres de toute influence autre que celle de ses propres Citoyens, autofinancée sans avoir besoin de recourir à d'autres entreprises tierces ou investisseurs.

À cette fin, nous utilisons les technologies d'aujourd'hui comme support. Contrairement à la majorité des projets de médias sociaux actuels, nous n'utilisons pas le battage médiatique autour du Web3, de la blockchain, des NFT comme but pour construire un projet : les technologies servent notre vision commune, mûrie pendant des mois en analysant les médias sociaux et leur impact sur la société. Et non l'inverse.

Au-delà du Web3, redéfinir l'engagement

Les projets « Web3 » prétendant être la parade pour renverser les Big Techs poussent maintenant comme des champignons chaque jour et partout. Mais au-delà du buzzword et du battage médiatique, est-ce quelque chose qui apportera fondamentalement des solutions saines et pérennes aux problèmes posés par « l’impérialisme technologique » ?

Cela n’amènera-t-il pas des problèmes d'un autre genre, tels que l'égoïsme de masse et l'hypercompétition pour les revenus et l'auto-promotion, finalement pas si différents de ce qui existe sur Instagram ?

Contrairement aux plateformes existantes, nous devons à tout prix éviter de faire du temps d’écran des utilisateurs le critère central, au détriment pour eux d'une vie équilibrée et de véritables interactions utiles et gratifiantes dans le monde matériel.

Nous ne devons pas non plus nous concentrer en premier lieu sur l'argent ou la récompense et la propriété individuelles, mais sur les « Communs ». Si les gens contribuent et restent sur la plateforme, nous voulons que la cause en soit qu'ils ont eu une excellente expérience et qu'ils se sentent devenus en l'utilisant de meilleures personnes, plus utiles, avec de vrais buts. Certainement pas parce qu'ils en sont devenus dépendants.

Sur Republike, nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes pour quelque chose de plus grand que nous-mêmes, ce qui implique que, par un ordre qui va au-delà des individus, nous pouvons recevoir le meilleur de la Communauté, en plus de découvrir peu à peu la satisfaction profonde, subtile et mystérieuse de donner le meilleur sans attente.

De ce point de vue, nous prétendons aller bien au-delà de la perspective habituelle du Web3 qui consiste principalement à faire de l'utilisateur une source indépendante et égocentrique d'auto-profit.

Si nous ne nions pas cet aspect, nous pensons profondément que le Bien Commun doit être placé au-dessus des intérêts individuels, essentiels d'ailleurs.

Pour rendre véritablement les utilisateurs libres, l'engagement doit :
+ Être le nôtre, pas celui des algos
+ Être choisi, pas subi
+ Promouvoir la qualité, pas la quantité
+ Nous élever, pas nous rendre dépendants

Nous, de Republike, concevons une nouvelle définition du concept d'engagement qui pourrait aider à façonner l'avenir de ce que sera le web, et donner un aperçu de ce que devrait être la prochaine étape de l'évolution.

Appel à une communauté engagée

Enfin et surtout, nous ne pouvons pas faire cela seuls. Parce que, pratiquement parlant, c'est impossible, autant que parce que ce n'est pas la vision décentralisée, démocratique, méritocratique et altruiste que nous avons pour Republike et le Monde.

Republike n'a pas l'intention d'être un produit ou un service en concurrence avec d'autres plateformes pour dominer dans un jeu où le gagnant prend tout. La compétition n'a aucun sens dans notre vision puisqu'elle continue d'opposer certaines personnes à d'autres. Nous pensons que la collaboration plutôt que la compétition est la prochaine étape de l'évolution et, ainsi, Republike a été conçue comme une communauté, un modèle, une vision, impliquant l'open-source et l'interopérabilité comme notions fondatrices.

Par conséquent, nous appelons à une communauté consciente de ces enjeux majeurs et engagée à construire avec nous quelque chose de puissant, de révolutionnaire et de bénéfique pour notre avenir, non seulement dans le monde virtuel mais aussi en semant les graines ici, dans Republike.

Cette vision globale, de la conception aux moindres détails d'utilisation, traduite en un design radicalement innovant de processus d'auto-gestion et de collaboration, élimine la polarisation et la censure tout en garantissant un niveau de liberté d'expression qu'aucune plateforme n'a jamais approché... Et surtout devrait renouveler votre parcours numérique et vous rendre meilleurs et prochains êtres humains.

Ne laissez pas l'égoïsme, qu'il soit celui des Big Techs ou le vôtre, vous transformer en bétail !Reprenons le contrôle de l'algorithme, d'Internet et de nos esprits.

La révolution commence ici et maintenant...

Nous recrutons nos 11 010 premiers fondateurs en proposant des statuts limités, offrant des avantages uniques et l’accès au partage de la valeur créée ensemble grâce à notre Token $AURE.




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